Les impressionnantes fresques du festival Jidar 2019

Hamza Nuino
Crédit: Hamza Nuino

Les impressionnantes fresques du festival Jidar 2019

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    Derrière Trois Têtes Man (c’est comme ça que son blase se prononce) se cache Louis Lambert un des street-artistes français les plus incontournables de la scène madrilène. En prenant comme point de départ la carte postale du souk de la médina, 3TTMAN réalise au quartier Takadaoum une fresque qui se joue des couleurs et des perspectives

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    Après un passage à Casablanca pour le festival Sbagha Bagha, l’artiste canadienne Danae est de retour à Rabat avec une impressionnante fresque qui nous plonge dans un univers fantasque où une chèvre est transformée en être magique et extravagant.

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    Le diable se cache dans les détails, une expression que le très réputé artiste british Phlegm ne pourrait contredire. Que ce soit sur une feuille A4 (comics) ou sur un mur d’un immeuble, l’artiste impressionne par la minutie de ses traits. C’est au quartier Hassan que l’artiste a peint son impressionnant personnage surréaliste.

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    Ce jeune artiste passé par l’École des Beaux-Arts de Casablanca a choisi de coller littéralement au thème de cette année en tirant le portrait d’une femme anonyme et d’un ours en peluche qui semblent, tous les deux, avoir du spleen… À voir au niveau de l’avenue Al Majd.

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    Les gourous du développement personnel ne cessent de marteler que les idées les plus simples sont les meilleures. Une fois n’est pas coutume, ils n’ont pas tout à fait tort et la fresque de Machima alias Mehdi Annassi en est le parfait exemple. Ce cofondateur du collectif Skefkef donne à voir un joli et touchant portrait d’une mère et d’un fils. À voir au niveau du boulevard Madagascar.

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    Comment le Maroc est vu par un touriste ? C’est la question de départ de la fresque de l’artiste espagnol GR170 située avenue Moustapha Assayeh. L’artiste y tourne en dérision des clichés sur le royaume (une main de fatma, une théière, un lion ou un taxi blanc) et le résultat est plutôt pas mal !

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    puis quelques années déjà, Morran Ben Lahcen valse entre l’in et l’out door. Entre les cimaises d’une galerie ou les façades d’une usine ou d’une habitation. Pour Jidar, l’artiste a réalisé une oeuvre minimaliste sur l’une des façades du musée d’art moderne et contemporain.

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    Hyuro a fait de silhouettes souvent anonymes au ton sépia l’estampille de son œuvre, que vous pouvez retrouver un peu partout dans le monde. Engagé, le travail de cette artiste argentine orbite principalement autour de la condition féminine. À Rabat, elle a opté pour la sobriété en peignant une femme sur fond d’un tapis. Sa fresque vous accueillera à la sortie de la gare de l’Agdal.

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    Des figures féminines et des lignes fluides composent l’ADN du travail de l’artiste belge basée à Hong-kong Caratoes. À Rabat, elle a choisi de donner du relief à un visage féminin rêvé qui surplombe dorénavant l’avenue Al Massira.