Buzz. Sexshop, oui mais…

Ce qui était un simple flyer promouvant un sexshop a pris une ampleur incontrôlable. Surtout pour le gérant, qui est bien réel tout comme le numéro de patente et le registre du commerce imprimés sur le fameux flyer. Cependant, il se défend de vendre des sextoys, c’est dire que le buzz lui a fait plus de mal que de bien. “Nous sommes une société d’import et d’export spécialisée dans les dispositifs médicaux à destination de personnes souffrant de troubles sexuels et la vente de sous-vêtements”, insiste-t-il, avant d’ajouter que son commerce “ne dispose pas de vitrine”. Contacté il y a tout juste deux semaines, le même monsieur incluait aussi, dans son catalogue, des vibromasseurs et de la lingerie affriolante. La raison de sa méfiance ? Une récente visite des services de l’ordre dans sa boutique. “Ils ont constaté que tout était en règle, j’ai toutes les autorisations nécessaires, je ne vends rien d’illégal”, tient-il à préciser. Quant à son chiffre d’affaires, il a besoin d’être allumé !  

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