Créé en août 2012, Jumia.ma, le portail leader du commerce en ligne au Maroc, affiche de solides performances. En cinq ans, le site est passé de 600 000 visites en 2012 à plus de 100 millions l’an passé, tandis que le nombre des commandes en ligne a augmenté de 25 000 commandes en 2012 à plus de 800 000 commandes en 2017.

 ^{(Cet article est une communication d’entreprise. Il n’a pas été rédigé par les journalistes de Telquel.ma)}

Fonctionnant comme une marketplace, l’équivalent d’un mall en ligne, Jumia.ma propose le plus large assortiment de produits, disponibles aux meilleurs prix et accessibles à tous les Marocains sur l’ensemble du territoire national. Le site permet ainsi aux acheteurs de consulter et d’acheter les produits qui les intéressent partout où ils se trouvent et depuis n’importe quel appareil : PC, tablette, smartphone. Quant aux vendeurs,Jumia.ma leur fait bénéficier d’un univers dédié avec une visibilité supérieure à moindre coût, comparée au prix élevé d’une boutique physique.

Ce positionnement, qui allie transformation digitale et qualité de l’offre et des services, a permis à Jumia.ma de suivre une croissance continue d’année en année. Depuis son lancement, le site a multiplié le nombre de ses vendeurs par 100, ces derniers passant de 30 à plus de 3 000 en janvier 2018 ; mais aussi le nombre de ses produits en ligne, de 10 000 à plus de 300 000, ainsi que le nombre de commandes enregistrées chaque mois, de 2 000 à 100 000 en ce début d’année.

Dans un contexte de croissance exceptionnelle du e-commerce au Maroc, l’année 2017 a été marquée par le doublement du chiffre d’affaires de Jumia.ma, qui a enregistré un nombre de commandes en ligne en hausse de 115 %. En 2017, Jumia.ma est également devenu le 9e site le plus visité au Maroc, toutes catégories confondues.

Illustration des excellents résultats affichés par Jumia.ma l’an passé, le Black Friday 2017, organisé du 13 novembre au 12 décembre, a attiré plus de 20 millions de visites et vu l’application Jumia être téléchargée un demi-million de fois. Avec 65 % du trafic généré sur la plate-forme via les connexions mobiles, l’application Jumia est à ce jour la plus populaire dans sa catégorie sur Play Store au Maroc, avec plus d’un million de téléchargements.

Ces cinq dernières années, Jumia.ma a aussi considérablement renforcé ses effectifs. Le site a vu le nombre de ses collaborateurs évoluer de 30 en 2012 à 350 cette année. En comptant ses partenaires et sa force de vente sur le terrain, Jumia.ma réunit aujourd’hui un écosystème de 4 500 collaborateurs marocains.

Commentant le bilan des cinq années d’existence de Jumia.ma, Larbi Alaoui Belrhiti, directeur général de Jumia.ma, a déclaré : « Dans un contexte favorable au commerce en ligne, Jumia.ma a su développer des solutions adaptées au consommateur marocain, et ce, dans le but de démocratiser l’accès à l’achat sur Internet, tout en fournissant des produits de qualité, partout au Maroc et aux meilleurs prix. En 2018, nous allons poursuivre nos efforts en ce sens et maintenir notre dynamique de croissance. Pour ce faire, nous allons continuer à développer le trafic sur le site, accroître le nombres des vendeurs sur notre marketplace ainsi que l’assortiment des produits que nous référençons. Nous allons également nous positionner davantage comme un acteur de la transformation digitale au Maroc et en Afrique à travers la création d’emplois et l’éducation numérique du marché. »

A la tête de Jumia.ma depuis juin 2017, était le Directeur Général d’Avito.ma, un des leaders des petites annonces en ligne au Maroc.

Larbi a 12 ans d’expérience dans l’entrepreneuriat en créant en 2005 l’une des premières entreprises de jeux sociaux et a créé l’un des plus grands jeux en ligne, TheMafiaBoss.com, qui est entré dans le Top 500 des sites les plus visités dans le monde en 2007.

Avant The Mafia Boss, Larbi a eu une forte expérience dans le conseil chez Accenture et a également eu une expérience considérable dans le développement de logiciels chez Oracle. Larbi détient un MBA exécutif de HEC Paris, un Master en Génie Informatique et un Bachelor of Computer Science de l’Université McGill.