PronAtlas, la start-up qui simplifie les pronostics sportifs entre collègues pour le Mondial 2018

Après 20 ans dans l’ombre, les Lions de l’Atlas sont de retour pour le mondial 2018 en Russie. A cette occasion, PronAtlas, une join-venture franco-marocaine, propose aux entreprises de leur fournir une plateforme en ligne simplifiant les pronostics sportifs entre collègues.

La Coupe du monde de Football, on ne peut pas le nier, c’est l’occasion idéale pour organiser des concours de pronostics. Fini les feuilles de papier remplies de tableaux tracés à main levée, ou les fichiers Excel. Une collaboration franco-marocaine lance PronAtlas, une nouvelle start-up qui fournit une plateforme en ligne pour aider les entreprises à organiser des pronostics  sportifs en interne.

L’initiative est développée par Corpogame, entreprise française qui avait lancé la plateforme en France lors de l’Euro 2016, et KWIKS, start-up marocaine qui travaille dans le recrutement et le fast-sourcing. « L’équipe de France, contrairement à celle du Maroc, a l’habitude de se qualifier pour le Mondial. Quand les Lions se sont qualifiés, c’est Corpogame qui nous a proposé le partenariat et on a beaucoup aimé l’idée« , nous explique Amine Khayatei, PDG de KWIKS.

Tisser des liens entre collègues

La particularité de PronAtlas est que la plateforme est exclusivement réservée aux entreprises, le but étant de tisser des liens entre employés, de fédérer les équipes. Une sorte d’outil de team building. « Le bien-être, ce n’est pas le fort des entreprises marocaines. PronAtlas c’est une manière de créer une ambiance sympathique et de donner aux employés un sentiment d’appartenance« , nous expliquent les initiateurs du projet.

Chaque campagne lancée sur PronAtlas sera customisée aux couleurs de l’entreprise du client. La taille de l’entreprise n’importe pas, tout le monde peut participer. Toutefois, plus l’entreprise dispose d’employés, plus les prix par personne sont vu à la baisse.

À la fin du championnat, les meilleurs pronostiqueurs sont récompensés par des cadeaux, décidés et fournis par l’employeur. « Nous on peut les orienter, car on a des partenariats avec des structures qui peuvent leur proposer des packages. Mais la décision finale leur revient« , explique le PDG de KWIKS. Les récompenses pécuniaires sont quant à elles interdites.

« Vu l’engouement que ça a pris depuis qu’on a lancé les inscriptions il y deux mois, nous sommes confiants de la réussite du projet. Tout le monde est intéressé, mais surtout, tout le monde veut investir« , confie fièrement Khayatei. Smeia, HPS, les fromageries BEL et Crédit Agricole font déjà partie des futurs parieurs.

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