Automatisation, surveillance du foncier et des investissements... la méthode Rachdi

Après la création de L'instance centrale de prévention de la corruption  (ICPC) en 2007 et un bilan mitigé, cette dernière est remplacée par l’Instance nationale de la probité, de la prévention et de la lutte contre la corruption (INPPLC) avec à sa tête, Bachir Rachdi et sa nouvelle vision.

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Crédit: AIC Press

En 2007, l’Instance centrale de prévention de la corruption (ICPC) était créée dans le but de coordonner et superviser l’action des politiques anti-corruption. En 2015, c’est un bilan en demi-teinte qui était annoncé par l’observatoire de la corruption de Transparency Maroc jugeant les…

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