Secteur culturel : la crainte de lendemains qui déchantent

Stoppé dès les prémices de la haute saison d’activité, le milieu culturel marocain est plongé dans le doute. Pour certains acteurs, le secteur paye le prix de trop longues années d’inactivité en faveur d’un véritable statut d’artiste.

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Le collectif bosniaque Dubioza au festival l'Boulevard, en 2019. Crédit: Yassine Toumi/TelQuel

L’un des nombreux paradoxes de ces temps de coronavirus : être dépossédé de toute possibilité de grande évasion, tout en libérant un temps précieux. À l’extérieur, librairies, musées, salles de spectacles, bars, stades et théâtres ont tous baissé le rideau, sans exception. Depuis l’annonce, le 16 mars, de la fermeture des lieux non…

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