Pourquoi l’État se serre la ceinture… en pleine crise

En attendant un hypothétique plan de relance, l’État n’ouvre pas les vannes du budget pour sauver des TPME à l’agonie. TelQuel a sondé un groupe d’économistes pour expliquer une rigueur gravée dans l’ADN de nos argentiers. Quatre raisons fondamentales seraient à l’origine de l’orthodoxie ambiante.

Le ministre de l’économie, Mohamed Benchaâboun, et le wali de Bank Al-Maghrib, Abdellatif Jouahri, n’ont pas impulsé les mesures de relance tant attendues par les chefs d’entreprises. Crédit: Rachid Tniouni/TelQuel

Mais pourquoi l’État, outre le fonds Covid-19, ressource non programmée, s’est-il serré la ceinture au moment où il fallait ouvrir les vannes, déléguant le colmatage d’une économie meurtrie au crédit bancaire ? L’étonnement est d’autant plus grand que même au niveau des bailleurs comme le Fonds…

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