L'âme à vif de Jilali Gharbaoui

Avec “Jilali Gharbaoui, le messager de l'exil”, Latifa Serghini clôt sa trilogie dédiée aux destins peu ordinaires des peintres marocains.

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Dans les maisons bourgeoises, il s’impose sur les murs des salons, comme une nécessité, un gage de standing, une preuve de culture et un regard obligé. On en évoque volontiers la mort avant la vie, trop courte. Jilali Gharbaoui incarne une légende. Il a une fin d’artiste maudit, dans l’oubli et l’abandon. Joli terreau pour la mauvaise conscience et ses avatars de fascination posthume pour un personnage volontiers qualifié d’icône…

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