Lors de la première phase épidémiologique, le Maroc comptait peu de cas graves et de décès. Est-ce le résultat d’une parfaite stratégie de prise en charge ou du faible nombre de tests de dépistage?

Après une gestion “exemplaire” de la première phase épidémiologique du Covid-19, la situation sanitaire actuelle du pays est devenue inquiétante. Le professeur Ahmed Rhassane El Adib, chef de service d’anesthésie-réanimation à l’Hôpital mère et enfant de Marrakech, décortique les raisons de ce basculement et expose les piliers d’une stratégie à même de réduire l’impact du nouveau virus. Interview.