Plasticien, critique, enseignant-chercheur et curateur, cet artiste à la casquette multiple poursuit son exploration dite “La Bibliothèque de Majnoun”. À la galerie casablancaise Shart jusqu’au 7 novembre, tout explose sous la sulfateuse du positif. Rencontre et cætera.
Peut-on encore fuir le pandémonium pour gagner les Lumières ? Peut-on encore essayer de civiliser l’Homme ? Où situerait-on alors la raison humaine ? Questionnements utopiques ? Peut-être bien, mais c’est justement dans l’utopie qu’on puise l’idéal. Par blocs ou fragments, on s’y achemine, rêvant ou rêvassant. Mohamed Rachdi serait de cette race qui continue…
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