Une détention préventive instrumentalisée ?

Soulaimane Raissouni, Omar Radi, Maâti Monjib… ces journalistes et militants des droits de l’homme font partie des milliers de Marocains qui ont été ou sont en détention préventive. Des voix s’élèvent pour dénoncer une pratique qu’elles jugent instrumentalisée pour faire taire des voix critiques. Les autorités, elles, insistent sur le “respect des procédures judiciaires”.

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Le journaliste Soulaimane Raissouni (au centre) a attendu 8 mois en détention préventive avant de connaître la date de son procès. Crédit: Rachid Tniouni / TelQuel

Soulaimane Raissouni connaît enfin la date de l’ouverture de son procès, fixée au 9 février 2021. Une date que le rédacteur en chef du quotidien Akhbar Al Yaoum, 48 ans, attendait depuis plus de huit mois,…

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