Si l’on a toujours vu au Maroc, dans les différents souks, des vêtements, chaussures et autres sacs et foulards vendus en vrac, ils n’avaient pas comme cibles les catégories socioprofessionnelles qui peuvent s’offrir du neuf. Contrairement aux grandes capitales de la mode comme Paris, New York ou Londres, la fripe au Maroc n’a pas toujours été glamour.
C’est en train de changer, grâce à de nombreux passionnés d’abord, qui en ont, ou pas, fait des commerces et grâce aux réseaux sociaux qui, encore une fois, apportent une nouvelle dimension à une culture de rue aux codes précis, parfois vue à travers des idées reçues dépassées.Une mode alternative
Il y a un point commun entre Salma, étudiante en communication et relations publiques, aka @Salmatoon sur Instagram ou TikTok, pur produit de…