Mounir Kejji : “Jamais je n’accepterai que le Maroc soit une plaque tournante de l’islamisme international”

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Smyet bak ?

Ali ben Assou, que son âme repose en paix.

Smyet mok ?

Dani Aïcha.

Nimirou d’la carte ?

Ça commence par UA. C’est le tampon de Goulmima. Il y a une méfiance quand les gendarmes lisent ça (rires). L’histoire de cette petite citadelle est tellement mouvementée depuis l’indépendance…

Etes-vous toujours aussi résigné à l’idée de ne pas faire de la politique?

A un moment donné, boycotter les consultations populaires semblait être une réponse pour montrer son opposition au pouvoir de façon générale. Avec le recul, on s’est rendu compte que cela permettait à des forces rétrogrades d’en profiter.

Faites-vous référence à une force particulière?

Le PJD a totalisé 1,3 million de voix en 2016. Il a un bloc stable et fidèle d’électeurs. Le boycott par les forces vives, bien que de différentes tendances, contribue à la victoire des islamistes.

Mais qui pour faire barrage ?

Je pense au mouvement amazigh, aux féministes, aux progressistes et aux mouvements des droits de l’homme. Bien qu’il n’y ait pas de grande différence entre les formations…

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