Réussite au bac: grand écart entre le public et le privé

Les résultats définitifs du bac révèlent un grand écart entre l’enseignement public et privé. Les littéraires réussissent davantage que l'année dernière. 

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Emotion chez des élèves qui découvrent leurs résultats du bac..
Des élèves qui consultent leurs résultats au baccalauréat devant leur lycée.

Les chiffres de la session de rattrapage du baccalauréat ont été publiés samedi 19 juillet. Le pourcentage total des candidats ayant réussi les examens du baccalauréat (ordinaire et rattrapage) s’élève à 53 %, selon un communiqué du ministère de l’Éducation nationale. Une légère amélioration par rapport à l’année dernière, où 51 % des élèves avaient décroché leur bac. Pour la seule période des rattrapages, le taux de réussite est de 32 %, un taux semblable à celui de l’année 2013.

Les chiffres révélés par le ministère de Rachid Belmokhtar font également état d’un très net écart concernant le secteur public et privé. 54 % de réussite sont notés chez le premier et 84 % chez le second. Les chiffres de réussite dans l’enseignement public sont en léger recul par rapport à ceux de 2013, qui indiquaient 60 %. Pour ceux du secteur privé, aucun changement n’est à relever. 

Les littéraires rattrapent (un peu) leurs résultats face aux scientifiques

Par branches, les chiffres communiqués par le ministère mentionnent un taux de réussite de 56 % pour le pôle scientifique et un taux de 49 % pour les branches littéraires. Une légère baisse est à noter du côté des chiffres de réussite des scientifiques par rapport à ceux de l’année dernière (57 %). En revanche les littéraires  enregistrent une hausse de 4 points.

Pour rappel, le 26 juin dernier, les résultats de la première session du baccalauréat avaient été entachées d’une polémique concernant les chiffres de réussite. Ces derniers, présentés comme positifs, ne prenaient en compte que les candidats scolarisés, et non ceux ayant passé leur baccalauréat de manière libre. Pour cette fois-ci, lors de l’annonce des résultats de la session de rattrapage, la distinction entre candidats libres et scolarisés a été clairement précisée.

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  • Les candidats du privé sont considérés comme des candidats “libres” et échappent à la sanction des professeurs qui dans la plus part des cas octroient les notes du contrôle selon le visage du client … le ministre doit avoir honte d’accorder un coefficient 4 à l’éducation sportive … alors que les profs de cette discipline sont toujours absents (par le mauvais temps)… l’absence des salles couvertes … et encore la note de « l’assiduité » que se
    réserve la direction …

    Si on fait le calcul le candidat officiel de bon marché aura
    = 20 en assid. + 20 x 4 en EP = 100 pts d’entrée si non c’est la catastrophe … or
    le candidat libre échappe au contrôle continu … à la sanction de l’assiduité … et
    àu « harcèlement » du contrôle continu … il est en face de son propre destin …. Quand au candidat officiel son destin est entre les mains de ses profs () et si il rate les bonnes notes en 1ere bac il ne peut pas faire marche arrière …. J’ai conseillé à plusieurs de passer le bac libre … résultat ils ont tous réussi leur bac …

    reste à signaler que certains parents attendent le bac pour inscrire leurs enfants dans le privé car ils savent la donne ….

    …. la comparaison doit se faire à pied égal …….il étai une fois un bac « écrit + oral »……………
    ..

    .

  • L’oral lui même fait jaser pas mal de personnes. Il est très controversé, et face à un professeur ou un comité, le pot de vin lors d’un oral est plus que possible. La restructuration du système éducatif doit d’abord passer par les mentalités, un défi loin d’être gagné

  • Tout à fait d’accord … le meilleur teste c’est celui de
    demander une production … d’en fixer le thème et pousser nos futurs bacheliers à la recherche … et d’ailleurs c’est sur ce sujet que les chercheurs en pédagogie travaillent … de vrais chercheurs … le malheur chez-nous c’est que tout le monde peut devenir membre d’un
    comité d’expertise sans avoir la qualité de le faire et le meilleur exemple c’est
    celui des sœurs jumelles … le ministère les condamne et le tribunal les
    innocentes …
    Alors que des pays dépensent beaucoup d’argent et d’effort
    dans L’observation comparative entre deux jumeaux monozygotes et de deux jumeaux hétérozygotes … les prétendus spécialistes du Nador tranchent sans honte sans expertise médicale …
    si j’étais le père … je poursuivrais en justice les membres de ce dit comité pour l’exercice d’une action sans avoir les conditions de recevabilité….

    Aadam l ahliya … men habbe wa dab asbaha alimane …