Asmae Boujibar, première femme marocaine à la Nasa

Dans un reportage publié par la chaîne américaine Al Hurra, Asmae Boujibar, une Casablancaise recrutée par la Nasa, raconte son parcours.

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Asmae Boujibar. Crédit : capture d'écran de l'émission AlYoum sur Al Hurra

« La réussite de ma fille est un exemple pour toutes les femmes marocaines », témoigne son père, architecte, plein de fierté. Asmae Boujibar, qui a obtenu son baccalauréat à Casablanca, a poursuivi  ses études en France avant de multiplier les stages de recherche en France et au Japon. Spécialisée en cosmologie et volcanologue,  Asmae Boujibar a réussi avec brio un concours de recrutement à la Nasa. Elle a rejoint, depuis le 2 septembre, une équipe à Houston, au Texas.

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  • Un baccalauréat français à Lyautey, un cursus de pointe à Clermont Ferrand, un stage au Japon… mmh il me semble un peu malhonnête de la part du Maroc de vouloir s’approprier cette belle réussite

  • heureusement personne ne s’est approprié cette réussite; ce serait un peu mal venu. l’article dit seulement que c’est une marocaine;mais il oublie de mentionner son ascendance tunisienne. comme ça arrive souvent lorsque l’un des 2 parents n’est pas marocain.

  • Ta raison, on doit mettre le nom de ses parents, leurs professions, leurs religions, ce qu’ils mangent le mi-di, si ils font du sport…

  • Ce n’est qu’un postdoc, ce n’est pas non plus la chargée de la mission « curiosity » à la NASA. et Franchement Clermont ferrand, l’ile de la réunion ce n’est pas ce qui se fait de mieux dans la recherche en France ou dans le monde. la présenter comme la savante Marocaine voir Arabe ou Africaine parce qu’elle a décroché un post doc à la NASA il ne faut pas déoner non plus, c’est de la comm pour la comm. et la NASA c’set comme tout institut de recherche, il y a des bons labos et d’autres qui jouent sur la réputation de la NASA. Je lui souhaite tout de même de réussir son « postdoc »;
    Bonne après midi

  • Bravo Asmae, vous avez sûrement fourni énormément d’efforts pour avoir réussi tes études et tes recherches universitaires, vous meritez bien ce poste…en tant qu’une femme arabe, je suis fière de vous! Bonne chance 🙂

  • t’es addict à la sodomie amal ? 🙂 on dirait que c’est ton modèle principale de l’acte sexuel.
    Les juifs sont circoncis, et ont un cerveau bien irrigué, contrairement à d’autres.

    Des Bises

  • Elle a un post-doc de 2 ans à la NASA. Il y a beacoup des post-doc marocains au CERN par exemple et la selection y est aussi difficile.

  • Malheureusement pour les mal informes, elle n’est pa la premiere. Il y a une autre qui calculait les trajectoires de missions Apollo en autres.

  • On ne va pas s’enflammer pour un post-doc, ce n’est ni le prix Nobel ni la médaille Field non plus. N’exagérons rien. Les post-docs sont, en général, les petites mains des chercheurs seniors et confirmés pour faire un peu de développement et du calcul scientifique que l’on transmet après aux patrons des équipes pour analyse et interprétation. On est plutôt dans l’opérationnel et bien moins dans le conceptuel. Alors de là à devenir une star de la Pasadena Jet Propulsion Lab, le chemin est très sinon trop long. Moi même étant enseignant-chercheur en Europe, des Post-docs de bonne et moins bonne qualité, j’en reçois dans mon labo pour un projet bien particulier et souvent hélas sans aucune suite à leur proposer à la fin du dit projet car temps de disette budgétaire oblige.

    On peut, bien entendu, encourager cette jeune chercheuse mais elle ne faut pas non plus lui faire croire ce qu’elle n’est pas encore…une liste bien garnie de publications est avant toute chose, le seul préalable à une vie de chercheur bien remplie et une légitimité scientifique. On ne se déclare pas chercheur soi-même, mais se sont les travaux attestés par les publications jugées par les paires qui le permettent seulement. Aussi, est sans tomber dans l’élitisme, l’université de Blaise Pascale Clermont-Ferrand 1 n’est pas le top des top, n’oublions pas que des établissements comme Paris 11, Paris 6 ou encore les Normale Sup, les Mines ou les Ponts et Chassées sans parler de Polytechnique sont de loin très bien côtés que cette université auvergnate et provinciale.

    Je vous laisse alors méditer sur nos propres prismes marocains déformateurs de la réalité…mais on ne peut qu’encourager cette jeune chercheuse à persévérer dans son travail.

  • So proud of her!!! it’s not about how you reach your goals but it’s about how much you believe on making them a reality! Many Moroccans graduated from Lyautey, Descartes and so on but she is the first ‘African Women’ to join NASA. It’s all about believe and desire to achieve your dreams! Congrats and good luck!

  • Elle a postulé à la nasa , kamal oudghiri pur produit de l’ecole marocaine a supervisé lui meme l’envoi du robot curiosity sur la planete mars , cherche un peu avant de critiquer tout et n’impote quoi

  • disons une fellation c est plus vulgaire et ignoble pour les mamans qui adorent ce genre de pratique sexuelle….en particuliers vos chaudes femmes marochiennes…….elles sont les leaders au monde…ahhhhhhh

  • Moi aussi je l’encourage. Decrocher un NPP n’est pas facile et c’est tres selectif (surtout pour les non Americans), donc bravo! MAIS, elle n’est certainement pas la premiere Marocaine a la NASA. il y a actuellement une Marocaine qui travaille en tant que chercheur de puis cinq ans (apres avoir complete son postdoc) a NASA (Goddard) et cette jeune fille (tres brillante d’ailleurs) a confirme qu’elle non plus n’etait pas la premiere Marocaine la NASA. Comme quoi, il y a eu, et il y a toujours, des Marocains a la NASA et il vaudrait mieux verifier les informations avant de publier des sottises, c’est le job de la presse, non?

  • pffff ignoble personnage qui s’excite derriere son écran en postant des phrases nauséabondes….Un conseil: le mieux à faire avec ce genre de personnage est de se boucher le nez et de l’ignorer