Smyet bak ?
Allal.
Smyet mok ?
Fatima.
Nimirou d’la carte ?
Je ne le connais pas.
Vous venez de défiler à l’Institut du monde arabe (IMA) dans le cadre de la Fashion Week haute couture de Paris, en tant qu’invité. Ça fait quoi d’être le premier créateur africain à figurer dans le programme officiel d’un des plus importants rendez-vous mondiaux de la mode ?
Je suis partagé entre deux sentiments. Une immense fierté, car, jamais dans mes rêves les plus fous, je n’aurais cru arriver à une telle consécration. Et une immense fatigue, car cela s’est fait dans un stress et une douleur intenses.
Pourquoi ce stress ? Ça fait une vingtaine d’années que vous exercez, avec le succès que l’on sait. Vous devriez être habitué à gérer ce genre de situation…
Cette fois-ci, les choses étaient très différentes. D’abord défiler, ou plus souvent exposer dans mon cas, son travail en solo, à l’invitation d’une institution culturelle, en direction d’un public large, n’est pas “dangereux”. Il y a généralement une grande bienveillance, pour ne pas dire de l’indulgence, chez les…
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