Ce texte, qui sera joint au traité de retrait du Royaume-Uni, « établit les paramètres d’un partenariat ambitieux, large, approfondi et flexible» en matière commerciale, de politique étrangère, de défense et de sécurité, selon le texte de 26 pages vu par l’AFP.
En vertu de cet accord, la période de transition pourra être prolongée jusqu’à deux ans après fin 2020.
Dans la foulée de l’annonce, le cours de la livre britannique a bondit sur les marchés financiers.
La chancelière allemande Angela Merkel a néanmoins estimé que « beaucoup de discussions » étaient encore nécessaires afin de parvenir à un accord final sur le Brexit. « Nous avons déjà fait des progrès, mais il y aura certainement encore beaucoup de discussions nécessaires, surtout aussi au Royaume-Uni », a-t-elle affirmé promettant de tout faire « pour arriver à un accord car une sortie sans accord serait (…) la pire des chemins à prendre ».