Smyet bak ? Mohamed El Morchid. Smyet mok ? Meriem. Nimirou d’la carte ? Je ne l’ai pas en tête. La pandémie de coronavirus a ébranlé plusieurs secteurs et le 7e art est aussi touché. Ça ne vous fait pas froid dans le dos de voir ce secteur à l’arrêt depuis le début du confinement ? Évidemment, comme tout le monde, je suis atterré par la crise sanitaire que traverse le monde actuellement. Tous les secteurs sont touchés, à des degrés différents, et il est clair qu’aujourd’hui, le secteur cinématographique est complètement sinistré. Dès le 16 mars, le CCM a limité à 30 personnes les tournages cinématographiques et audiovisuels, puis quelques jours plus tard, les autorités ont décrété l’état d’urgence sanitaire. Des productions ont pu se faire depuis ? Depuis la mise en place de l’état d’urgence sanitaire, le CCM n’a délivré aucune autorisation de tournage. On a reçu des demandes, mais nous avons expliqué aux intéressés qu’il était impossible de délivrer des autorisations, car notre secteur n’est pas considéré comme vital contrairement à la santé ou l’alimentaire. Qu’en est-il des tournages qui étaient déjà…