Bouabid, résident forcé à Missour

Le leader de l’USFP, Abderrahim Bouabid, a été exilé à Missour où il est resté plusieurs mois en résidence surveillée, puni par Hassan II pour s’être opposé à l'organisation d'un référendum au Sahara, accepté par le roi en août 1981. Sa mémoire plane encore sur les lieux.

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Abderrahim Bouabid a vécu près de cinq mois en isolement dans cette petite bâtisse ocre, à plus de 400 km de Rabat, d’octobre 1981 à février 1982.
À l’entrée nord de Missour, dans un décor de western, se dresse un pâté de maisons à l’architecture révolue. Un ensemble bâti dans un style colonial bordé par la maison d’accueil Dar Diafa, la prison…
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