Le ministère étudie tous les scénarii possibles en fonction de la situation épidémiologique au Maroc.” C’est ainsi que le ministère de l’Éducation nationale tente de balayer les questions autour de la tenue des épreuves de fin d’année, dont la plus cruciale de toutes : le baccalauréat. Il y a un mois, le département de Saaid Amzazi répondait de manière tout aussi laconique à la même question : “Nous sommes en train d’étudier les différents scénarii, mais aucun n’a pour le moment été définitivement retenu”, nous confiait une source autorisée. Toujours est-il qu’entre-temps, élèves, enseignants et parents se retrouvent suspendus à une décision qui tarde à être tranchée.
Prendre en compte les disparités
“La question des épreuves, surtout pour les bacheliers, est cruciale, car elle conditionne leur avenir. On ne cesse d’y penser, d’en parler entre collègues et de réfléchir à des pistes pour se préparer…