Cas d’écoles : quand les étudiantes portent plainte

Retour sur deux affaires judiciaires à l’université, parmi les rares qui ont défrayé la chronique.

Par et

“On ne sait toujours pas où ça en est, pourtant on a déposé plainte”, déplore le père d’une des victimes. Crédit: Philippe Lopez / AFP

Deux scandales de harcèlement et de chantage sexuels ont secoué, à deux ans d’intervalle, la Faculté des sciences de l’éducation de Rabat et l’Université Abdelmalek Essaâdi de Tétouan. Des affaires qui n’ont entraîné aucune remise en question des établissements. Mécanismes de silenciation des victimes, impunité et pièges judiciaires… éclairage sur un système dysfonctionnel qui échoue à protéger les étudiantes.

Loi du silence

“On ne sait toujours pas où ça en est, pourtant on a déposé…

Soutenez un média indépendant et exigeant
  • Accédez à tous les contenus de TelQuel en illimité
  • Lisez le magazine en numérique avant sa sortie en kiosque
  • Accédez à plus de 1000 numéros de TelQuel numérisés
Cet article est réservé aux abonnés.
Déjà abonné ? Se connecter