Ambiance houleuse, samedi, lors de la rencontre sur les dysfonctionnements et la réforme du droit d’auteur. Abdellah Oudghiri, directeur du BMDA, est arrivé en retard et a dû faire face aux questions incisives des intervenants, artistes et acteurs culturels mécontents. L’actrice culturelle Amel Abou El Aazm raconte : “Il a monopolisé la parole pour qu’il y ait moins de questions et a promis la mise en route d’un site Internet d’ici dix jours”. Promesse faite depuis dix ans. “Affaire à suivre”, commente Abderrahim Kassou, membre du CNDH, pour qui “les droits d’auteur font partie des droits humains”. “On donne rendez-vous à M. Oudghiri au prochain SIEL pour voir ce qui a été fait”.
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