A l’affiche. My names is…

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Vincent, un quadra bien dans sa peau, est sur le point de découvrir les joies de la paternité. Lors d’un dîner chez sa sœur et son beau-frère, ses amis et proches le bombardent de questions sur sa paternité. Tout va bien jusqu’à ce qu’on demande à l’agent immobilier bling-bling quel est le prénom qu’il a choisi de donner à son futur rejeton. Là, tout bascule… En 2010, Le prénom avait été un véritable triomphe au théâtre. Mais en passant de la 3D à la 2D, l’intérêt du film s’est considérablement réduit. Un peu comme si le talent de Patrick Bruel et Valérie Benguigui, qui ont joué le rôle du couple sur les planches, s’était ratatiné. Tout comme Roman Polanski dans Carnage, les deux réalisateurs —Matthieu Delaporte et Alexandre de la Patellière— ont misé sur le huis clos. Pari risqué, car n’est pas Polanski qui veut. Tandis que Patrick Bruel est plat, Valérie Benguigui sort son épingle du jeu, Guillaume de Tonquédec, Judith El Zein et Charles Berling font le job. Bref, vous l’aurez compris, le film est très inégal, et tient plus de la pièce de théâtre filmée que du véritable long-métrage.

Le prénom, de Matthieu Delaporte et Alexandre de la Patellière, au Mégarama

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