La 1ère Biennale internationale de Casablanca (du 15 au 30 juin) vient de s’achever. Le bilan ? “23 000 personnes ont fait le déplacement ! On n’y croyait pas… Jusqu’au dernier jour, les galeries étaient remplies de visiteurs”, confie Mostapha Romli, à l’origine de l’évènement. A l’inverse de nombreuses biennales qui misent sur trois ou quatre têtes d’affiche, les organisateurs ont préféré ratisser large, avec 263 artistes de 40 nationalités. Parmi les œuvres présentées au public, des photos et installations de nus. “Je n’ai entendu aucune réflexion négative sur ces œuvres, que ce soit de la part des visiteurs ou des autorités. Le nu n’est pas arrivé grâce à cette biennale, mais il est indéniable qu’il est plus facilement admis désormais. C’est un grand signe d’ouverture du Maroc”, se réjouit Romli. Pourvu que ça dure…
Vous devez être enregistré pour commenter. Si vous avez un compte, identifiez-vous
Si vous n'avez pas de compte, cliquez ici pour le créer