Le 12 mai 2014, Mohammed VI présidait la cérémonie de signature des conventions du projet “Rabat, ville lumière, capitale de la culture marocaine”. Huit ministres, tout ce que compte le pays comme grands établissements publics ainsi que les élus apposent leurs signatures pour un projet de développement intégré qui ambitionne, entre 2014 et 2018, de faire de la capitale administrative du royaume une ville moderne, verte et attrayante. Le tout pour un budget global de 9,42 milliards de dirhams. Or, près de quatre ans plus tard, une polémique s’installe entre un groupe d’élus locaux et le maire de Rabat, Mohamed Sadiki, qui siège au conseil d’administration de Rabat Région Aménagement, maître d’ouvrage du projet. À tel point que, le 12 février, les élus de la FGD ont saisi la Cour des comptes pour une enquête sur tout le projet, en prenant au passage le soin de…
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