Peut-on être à la fois député marocain et défendre les intérêts d’un pays étranger ? C’est l’impression que donne le groupe parlementaire du PJD qui s’est opposé, par la voix de son président, Driss Azami Al Idrissi, à la décision du gouvernement de freiner l’invasion turque dans le secteur du textile. Il estime en effet que cette mesure est “sélective” et risque d’être interprétée comme une remise en question du partenariat économique entre les deux pays. Pourtant, et c’est ce que l’ancien ministre du Budget oublie ou omet de dire, la…