On n’interviewe pas Mo Baala. On l’écoute parler. Des heures durant. Dans son antre, son gîte-atelier, sis dans un douar de la banlieue de Marrakech, sur la route de l’Ourika. Il a commandé une tangia — cuite et recuite au ferrane public, dans la vieille tradition. On la déguste arrosée de…
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