On le disait mort politiquement, grillé, radioactif, en disgrâce… Mais il a finalement rebondi de plus belle. Avec tous les coups qu’il a pris, du Palais, de son entourage et d’ailleurs, Nabil Benabdallah, si l’on suit la logique du moment, aurait dû être écarté, remplacé par une personne plus conciliante, vierge de tout engagement et qui effacerait d’un revers de main les choix politiques du parti. Comme celui, courageux et risqué, de s’allier aux Benkiranistes, ou de faire de la construction démocratique une priorité. Un terme qui a disparu de…