Tac, tac, tac, tac, tac…” Dans une forte odeur de peau séchée, l’aiguille pique le simili-cuir. De son dard, elle dépose le fil qui va fixer la passementerie et les broderies, avant que la couverture ainsi travaillée ne soit insérée entre des couches de feutre — négociées au marché de Derb Omar — et le siège de bois…
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