Du 25 au 28 avril, Essaouira recevait la 19e édition du Printemps musical des alizés. Des rencontres intimistes et acoustiques ont célébré Vivaldi, Schubert, Mendelssohn, Brahms, Beethoven, Satie. Une dizaine de concerts programmés dans des lieux de mémoire.
Si le festival ne s’est pas trop investi dans les instruments à vent, la ville s’en est amplement occupée. Des rafales stridentes, des gifles majestueuses s’écrasaient sur des joues consentantes. C’est dans cet environnement venteux que la fine musique a pris ses quartiers. Des espaces fermés ont ouvert leurs portes à un…
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