Farid Belkahia, incubateur de modernité

Un Beau-livre collectif consacré à Farid Belkahia revient sur l’âge d’or de l’École des Beaux-Arts de Casablanca et sur ses réalisations artistiques et intellectuelles.

Par

A son retour de Prague en 1962, Farid Belkahia relève le défi de redresser l’École des Beaux-Arts de Casablanca. Jusqu’en 1974, aux côtés de Mohammed Melehi, Mohamed Chabâa, Toni Maraïni, Bert Flint, etc., il met en place un dispositif d’enseignement et de recherche qui vaudra à “l’École de Casablanca” de rejoindre le cercle très restreint des expériences internationales,…

Soutenez un média indépendant et exigeant
  • Accédez à tous les contenus de TelQuel en illimité
  • Lisez le magazine en numérique avant sa sortie en kiosque
  • Accédez à plus de 1000 numéros de TelQuel numérisés
Cet article est réservé aux abonnés.
Déjà abonné ? Se connecter