La nuit du “grand déplacement”, grossière erreur de gouvernance d’un Exécutif aux abois, menaçait de rompre toute confiance entre l’état et les citoyens. Après une gestion sanitaire correcte, le logiciel du gouvernement semblait s’être détraqué. Erreurs de communication, injonctions paradoxales (voyager ou rester chez soi)… les couacs se sont accumulés pour connaître leur apothéose en cette funeste nuit du dimanche 26 juillet. Cette soirée-là, impliqués malgré eux dans un scénario de série B, les Marocains ont dû s’engager dans une course contre la montre pour regagner leurs domiciles en…