Le droit d’être heureux

Par La Rédaction

Le moral des Marocains ne va pas bien. Il y a beaucoup plus de dépression, deux fois plus d’anxiété et des manifestations psychotiques.” Le diagnostic du psychiatre Hachem Tyal est sans appel. Un drame se joue et la crise sanitaire n’y est pas pour rien. La vulnérabilité est palpable, toujours plus amplifiée par un confinement et des couvre-feux qui forcent l’érosion des corps et des esprits. Pourtant, dans un monde qui vacille, des individus osent faire un pas de côté pour imaginer des futurs plus enviables….

Soutenez un média indépendant et exigeant
  • Accédez à tous les contenus de TelQuel en illimité
  • Lisez le magazine en numérique avant sa sortie en kiosque
  • Accédez à plus de 1000 numéros de TelQuel numérisés
Cet article est réservé aux abonnés.
Déjà abonné ? Se connecter