Dans la cellule de Fatna El Bouih

Ex-détenue politique, Fatna El Bouih revient sur quatre livres qui lui ont permis de survivre et de garder une lueur d’espoir durant son emprisonnement.

Par et

Fatna El Bouih
Fatna El Bouih. Crédit: DR

1. L’insoutenable légèreté de l’être, de Milan Kundera

L’insoutenable légèreté de l’être, de Milan Kundera
L’insoutenable légèreté de l’être, de Milan Kundera, 1984, en poche.
“J’ai lu ce livre vers la fin de ma détention. Il est assez délicat de tenter de résumer ce roman, tant il aborde différentes thématiques. Ce que je peux dire, c’est que toutes convergent vers la dimension humaine dans ses fibres les plus fines.”

2. Un Homme, de Oriana Fallaci

Un Homme, de Oriana Fallaci
Un Homme, de Oriana Fallaci, 1979, éd. Grasset.
“Ce livre est un des livres de ma thérapie, car je crois réellement à la lecture en tant que telle. Pendant ces années douloureuses, j’ai eu la chance de pouvoir lire, et ça m’a aidée à survivre ainsi qu’à guérir. L’auteure est une grande journaliste au courage extraordinaire,…
Cet article est réservé aux abonnés.
Déjà abonné ? Se connecter
Soutenez un média indépendant et exigeant
  • Accédez à tous les contenus de TelQuel en illimité
  • Lisez le magazine en numérique avant sa sortie en kiosque
  • Accédez à plus de 900 numéros de TelQuel numérisés