La différence que quelques petites heures peuvent faire. Dans la soirée du 12 avril, Casablanca était une fête comme ont sans doute dû l’être Rabat, Tanger ou encore Marrakech au même moment. Nombreux sont ceux qui se sont agglutinés sur les terrasses de café pour obtenir une dernière dose de vie sociale avant le grand plongeon. Les terrasses étaient bondées comme rarement durant l’année passée, certains semblant même se délecter, dans les espaces les plus serrés, de la mauvaise odeur de la fumée de cigarettes. L’alcool en moins, on se…