Après les cataclysmes
Cendres post-nucléaires
La route (2007),…La tendance est ancienne mais s’affirme de plus en plus. Les romanciers, surtout de science-fiction, anticipent sur les dérèglements du climat et les dangers de l’anthropocène qui risque de rendre la planète inhabitable. Que le ton soit post-apocalyptique, anxiogène et terrifiant, ou au contraire à l’utopie solarpunk, la climate-fiction tire la sonnette d’alarme.