Le monde d’après, la solidarité, la fraternité et gneu gneu gneu

Par Réda Allali

Cette semaine, Zakaria Boualem voudrait vous conter les mésaventures d’un bon ami à lui, un ancien collègue répondant au patronyme improbable de Abdelkoudous Boufous. Il y a quelques années, ce brave informaticien a quitté le confort douillet du salariat bancaire (dans lequel notre héros est toujours englué) pour lancer, plein de panache, sa propre société. Le bougre avait naïvement cru en cette pluie de déclarations officielles qui annonçaient qu’il fallait encourager l’entreprenariat, libérer les énergies, alléger les procédures administratives, ce genre de sornettes. La seule création de son entreprise a…

Soutenez un média indépendant et exigeant
  • Accédez à tous les contenus de TelQuel en illimité
  • Lisez le magazine en numérique avant sa sortie en kiosque
  • Accédez à plus de 1000 numéros de TelQuel numérisés
Cet article est réservé aux abonnés.
Déjà abonné ? Se connecter