Il paraît que nous sommes fâchés avec les Allemands. Au moment où nous écrivons ces lignes, le plus grand mystère plane sur les raisons de notre courroux. Ne comptez pas sur Zakaria Boualem pour vous en dire plus, il en est incapable. Si ça ne tenait qu’à lui, il aurait protesté il y a presque trente ans, après le coup franc de l’infâme Lothar Matthäus, mais, hamdoullah, personne n’a pensé à le consulter pour définir notre politique internationale. Il y a aurait…