La revue “Makan”, un éloge des possibles bricolés

Le premier numéro de la revue tangéroise Makan 
se penche sur les utopies informelles.

Par

Hicham Bouzid et Amina Mourid
Hicham Bouzid et Amina Mourid sont les initiateurs de l’association Laboratoire Kissaria, à Tanger, et de la plateforme Think Tanger qui pense l’artisanat en lien avec les pratiques artistiques expérimentales.

De KAN YA MAKAN aux réalités territoriales, la revue Makan, Culture & Spaces explore les espaces divers, “urbains, sociaux, politiques, artistiques, philosophiques, économiques, intimes et imaginaires”. Mais pas seulement.

Un carottage dans les informels, un point d’interrogation sur les zones grises

L’équipe d’artistes, d’architectes et de sociologues que réunit la jeune revue tangéroise s’intéresse aussi aux “interespaces”. Aux écarts. Aux entre-deux “socio-urbains, socio-économiques, politico-artistiques, poético-politiques, socio-intimes”. Née dans le sillage de l’Atelier Kissaria et de…

Soutenez un média indépendant et exigeant
  • Accédez à tous les contenus de TelQuel en illimité
  • Lisez le magazine en numérique avant sa sortie en kiosque
  • Accédez à plus de 1000 numéros de TelQuel numérisés
Cet article est réservé aux abonnés.
Déjà abonné ? Se connecter