Quand on monte dans un taxi à Casablanca, on sait peut-être à peu près où on va, estime Nihed El Baroudi, mais on ne sait jamais vraiment comment on y arrivera. Moins à cause des péripéties de la mégapole ultrapolluée qui suffoque dans les embouteillages qu’en fonction du cocktail humain qu’on aura croisé dans les petits véhicules rouges.
Le premier récit de la journaliste et juriste se place sous la tutelle des Hoba Hoba Spirit, eux-mêmes rendant hommage à Nass El Ghiwane, qui eux-mêmes chantaient dans
Fine ghadi biya khoya d’autres chemins que ceux tracés. Au jour le jour, lors de ses séjours à Casablanca, elle chronique les coups de gueule, les bons mots et les éclairs de lucidité de tous ceux qui partagent, avec plus ou moins…
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