Deux Françaises d’origine marocaine sur le front de la cryptomonnaie

La technologie dominée par le bitcoin s’attire de plus en plus de reconnaissance. De la Chine à l’Europe, les gouvernements s’y intéressent de près. Nadia Filali, membre du conseil d’administration de l’Agence du développement digital (ADD) du Maroc, et Sajida Zouarhi, ingénieure spécialisée en blockchain, prennent le futur de la monnaie à bras le corps.

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Diaspora

L’année 2021 démarre en trombe pour la star de la blockchain. Le 16 février, le bitcoin a dépassé la barre symbolique des 50.000 dollars. Il faut dire que la cryptomonnaie a gagné en légitimité ces derniers mois. En octobre 2020, l’application Paypal l’a intégrée comme moyen de paiement international. Des géants de la finance, comme Fidelity, lancent des fonds d’investissement en bitcoin. De grandes entreprises, à l’image de Tesla, placent une partie de leur trésorerie dans la devise virtuelle. Si certains craignent son aspect spéculatif, d’autres vont jusqu’à définir le bitcoin comme une nouvelle valeur refuge.

Dans l’espoir de ne pas se faire dépasser, de plus en plus de gouvernements s’intéressent de près aux cryptomonnaies. Selon la Banque des règlements internationaux (BRI), près de 80 % des banques centrales de la planète étudient la possibilité de créer leur propre monnaie digitale.

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