Vous soulevez la dimension raciste des documents historiques sur la médecine au Maroc avant le protectorat. Comment faut-il l’appréhender ?
L’idée n’est pas de ressasser le passé. C’est toute la démarche postcoloniale : ne pas juger l’histoire, mais desceller les reliquats de cette entreprise de domination. Voir dans quelle mesure et par quels moyens son esprit persiste. Ici, ma démarche consiste à m’éloigner…